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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 04:52

La Prière à Gethsemané (IV) et le Baiser de Judas (V).

 

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La Prière à Gethsemané (IV)

 

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Le Baiser de Judas (V).  

 

Jésus se tient au milieu du groupe; vêtu d'une robe jaune et d'un manteau bleu foncé ; son nimbe est rouge à croix verte. A gauche, deux soldats, coiffés d'un casque ovoïde, accompagnet Judas, qui n'est pas nimbé. Le traite pose un baiser sur la joue du Christ dont il tient le poignet avec sa main droite, tandis qu'il pose l'autre sur l'épaule de la victime. A droite du tableau, Pierre a saisi par les cheveux Malchus, le serviteur du grand-prêtre Caïphe et, de son épée, lui tranche l'oreille.

 

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Tableau encrasé qui ne permet pas de distinguer correctement la scène. 

à suivre…


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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 04:42

Le médaillon est entouré de quatre scènes : Jésus (I) et les Scribes (II), la Prière à Gethsemané (IV) et le Baiser de Judas (V).


Jésus (I), les Pharisiens et les Scibes (II).

 

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Cette scène occupe les deux demi-médaillons inférieurs du vitrail. Dans celui de gauche, Jésus, vêtu d'une robe blanche et d'un manteau rouge, la tête entourée d'un nimbe jaune à croix verte, étend le bras droit, l'index levé, vers le groupe des Pharisiens et des Scribes ; de la main gauche il tient un phylactère déployé. Il est accompagné de trois de ses disciples, dont deux seulement sont visibles ; de l'autre on aperçoit que la partie supérieure de la tête et du nimbe ; le personnage le plus rapproché de Jésus tient un livre appuyé contre sa poitrine.

 

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Jésus, les Pharisiens

 

Dans le compartiment symétrique sont groupés les Pharisiens et les Scribes, au nombre de cinq ; deux d'entre eux sont coiffés de bonnets rigides, ovoïdes et côtelés , un autre a ramené sur sa tête, en manière de chaperon, un pan de son manteau ; deux portent des phylactères ; les gestes indiquent chez les uns la menace, chez les autres la protestation.

 

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et les Scribes

à suivre …

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 04:42

Il est malaisé, poursuit André Philippe, de préciser le sens dans lequel se déroule la suite des scènes. Nous ignorons en effet dans quel état se trouvait le vitrail avant sa restauration et quelle a été la part d'invention chez l'artiste qui a exécuté le travail. Quoi qu'il en soit, nous serions étonnés que l'erreur commise relativement à la place aujourd'hui assignée à l'Ascension (André Philippe parle toujours au moment où il a vu le vitrail en 1930) fût imputable au verrier du XIIIème siècle ; d'autre part, certains morceaux modernes bouleversent, par leur plac, l'ordre logique généralement observé dans les vitraux du même genre, et empêchent de dire si la verrière devait se lire de gauche à droite dans chaque registre, ou alternativement de gauche à droite et de droite à gauche.

 

La Passion est un sujet qui a été fréquemment traité par les peintres verriers du Moyen-Âge.

 

Pour la description du vitrail, nous le diviserons en cinq groupes ; de bas en haut, nous étudierons d'abord dans chaque groupe, le médaillon central, et nous ne tiendrons compte que des parties anciennes.

 

Premier groupe — La Cène.

 

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Médaillon encrassé

 

L'artiste a représenté le Christ et huit de ses disciples. La table occupe presque toute la largeur du médaillon ; à cette table sont assis les convives, sauf Juda. Le Christ est au milieu, trois apôtres sont à sa droite et quatre à sa gauche ; parmi ceux-ci, jean est assis à côté du Maître, sur la poitrine duquel il appuie la tête. En avant, seul Judas, presque de profil, tend la main vers le plat posé au milieu de la table et dans lequel se voit un poisson (1). La nappe, à ornementation losangée avec un point dans chaque losange, retombe en avant en petits plis. Le couvert se compose de deux hanaps, d'un plat et d'un couteau qui paraît analogue à ceux dont on se sert aujourd'hui. Outre le poisson, les mets consistent en une galette ronde et en deux moitiés d'une autre analogue.

 

L'expression et les poses des personnages dénotent un grand souci de la vérité et un espect des textes sacrés. La composition offre, en dépit des imperfections de détail et des maladresses dans le dessin, un sens de mouvement et une grande varité d'attitudes.

 

Jésus incline la tête à droite et appuie sa main gauche sur l'épaule de Jean. Les Apôtres se tournent vers lui, et semblent, de la main, esquisser un geste de dénégation. Deux d'entre eux tiennent une coupe en main. L'artiste a choisi l'instant où le Christe désigne celui qui le livrera (2).

 


(1) Le poisson symbolique ne se voit plus que rarement à l'époque gothique. A Laon, il figure également sur la table de la Cène ; c'est un lien de parenté entre les deux verrières.

(2) Cette pose effondrée de Judas est caractéristique ; elle peint, d'une manière réaliste, l'inquiétude et son remords naissant. Ces sentiments sont encore rendus plus sensibles au tympan de la porte principale de la cathédrale de Strasbourg. La Cène y est traitée d'une manière très comparable à celle de la peinture sur verre de Saint-Jean. Judas seul est accroupi en avant de la table, les autres personnages sont debout derrière elle.

à suivre…

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 04:43

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En cette rentrée 2013-2014, les mots de bienvenue du président de l'association "Des orgues pour Saint-Jean"

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Monsieur Graham O'Reilly nous présente le programme et les interprêtes de la soirée

Ensemble Vocal de Pontoise direction de Graham O'Reilly

Ensemble Impérial Brass avec Alain Rémy

Denise Wolfcarius, continuo

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Salut final

Et rendez-vous dimanche prochain

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 04:48

Affluence vendredi soir pour le vernissage de l'exposition de l'Association "Saint-Jean-aux-Bois et les Arts" dont l'invité est cette année Claude Larosa.


Quelques photos pour vivre et revivre cet événement.

 

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L'exposition; l'artiste vous accueille

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Claude Larosa devant deux de ses toiles

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Le vernissage

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Les mots de Bienvenue du président de l'association

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Et du maire de Saint-Jean

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L'artiste retrace le parcours de son œuvre

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Le vin d'honneur en plein air

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Quelques vues sur l'exposition

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Mieux connaître Claude Larosa? : www.claude-larosa.com

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 05:27

Le troisième médaillon, écrit André Philippe, devait originairement représenter la Résurrection. C'est en réalité l'Ascension qui y figure ; il y a eu erreur dans la transposition avec le cinquième médaillon.(Nous avons vu que cette erreur avait été rectifiée en 1945 par Grüber) Une seule scène ancienne l'accompagne : Jésus dans les Limbes. Les soldats endormis, qui occupent deux panneaux, et les Saintes Femmes au tombeau sont modernes.

 

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Le quatrième quadrilobe montre les deux disciples se dirigeant avec Jésus vers Emmaüs ; il est cantonné de l'apparition de Jésus à Madeleine, de Jésus au lac de Tibériade (moderne), de l'incrédulité de Thomas et du repas d'Emmaüs (moderne).

 

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Enfin, dans le cinquième et dernier médaillon, Jésus dans une gloire elliptique soutenue par deux anges, morceau moderne, occupe la place de l'Ascension ; (Rectifié, même remarque que dessus) au-dessous les Apôtres regardent le Maître qui disparaît à leurs yeux, et au-dessus, deux anges balancent des encensoirs. Le groupe des Apôtres de gauche est moderne.


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à suivre…

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 04:36

Assemblage 2Les titres soulignés sont ceux, de bas en haut et de gauche à droite, des parties anciennes de la verrière :


Jésus et les scribes (deux scènes symétriques),


La Cène (médaillon),


Le baiser de Judas,


Jésus portant sa croix,


La Mise au Tombeau,


L'Ascension (Médaillon),


Jésus dans les limbes, 


Jésus et Marie-Madeleine,


Les disciples faisant route avec Jésus vers Emmaüs (médaillon),


L'incrédulité de Thomas,


Les Apôtres le jour de l'Ascension,


Deux anges thuriféraires.

 

Étoile


La verrière se compose de cinq médaillons quadrilobés et de vingt demi-médaillons.


Les vingt-cinq sujets forment donc cinq groupes. Chacun des cinq médaillons, ayant été réservés par l'artiste à une scène qu'il a considérée comme capitale, est cantonné de quatre épisodes se rattachant à cette scène.

 

Étoile

 

Le groupe le plus complet, au bas de la fenètre, se compose, en médaillon central, de la Cène, accompagnée de la discussion de Jésus avec les scribes, du baiser de judas et de la prière à Gethsémané (moderne).

 

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Le médaillon placé directement au-dessus est consacré au supplice du Christ ; il est moderne, mais il remplace très probablement la même scène ancienne. Autour se groupent : Jésus devant Pilate (moderne), Jésus portant sa croix, le suicide de Judas (moderne), la Mise au Tombeau.

 

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à suivre…

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 04:56

Le sanctuaire possède seul des vitraux. Un vitrail légendaire occupe le fenètre centrale du chevet, et les quatre fenêtres latérales sont garnies de grisailles de différents dessins. Le tout date du XIIIe siècle.

 

Le vitrail de la Passion

 

"La verrière est consacrée à l'histoire du Christ depuis la Cène jusqu'à l'ascenssion. Elle a toujours occupé l'emplacement où nous la voyons aujourd'hui, comme le prouvent les dimensions de l'ensemble, la disposition logique des tableaux et l'absence de toute trace des modifications qu'aurait entraînées ce transfert", écrit A. Philippe.

 

Il poursuit:"C'est, en outre, à cette place d'honneur que se trovent le plus généralement les vitraux qui ont la Passion pour sujet. Nous n'en citerons comme preuve que la Sainte-Chapelle de Paris, les cathédrales de Laon, de Lyon, de Sens, d'Auxerre, de Reims, etc…" Cette dernière que nous avions pu admiré lors de notre voyage d'il y a deux ans.

 

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Il saute aux yeux de tout observateur qu'il y a une inversion au niveau des médaillons 3 (L'Ascension) et 5 (Jésus Sanctifié) sur le vitrail tel qu'il se présente aujourd'hui par rapport au relevé fait par André Philippe en 1930. Ce n'est pas lui qui s'est trompé dans son relevé, il a reproduit ce qu'il a vu à ce moment. Nous avons retrouvé une photo qui date de la fin du XIXe siècle ou du début du XXème. Bien que de mauvaise qualité, comparé au relevé d'André Philippe, on peut se rendre compte que les médaillons sont aux mêmes emplacements. Ce qui laisse penser que l'inversion est ancienne et pourrait dater de la restauration des vitraux qui a été faite en 1868. Lors de la repose de ces vitraux en 1955, le Maître verrier Grüber, expert en ce genre de travaux a, sur la base de ses connaissances et de documents, remis les médaillons à leur place. André Philippe avait noté cette anomalie, soulignant que le "médaillon de l'Ascenssion n'a pas été maintenu à sa place primitive et logique".

Vitrail central

 

Comme nous l'avons souligné, le vitrail a connu des restaurations au cours du XIXème siècle et sur les vingt-cinq sujets qu'il renferme, quotorze seulement sont ancien.

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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 05:01

Les vitraux de l’église ont à travers les ans faits l’objet d’une attention particulière. Les archives communales en portent la trace.


En l’an 9 (1801) le citoyen Poulletier qui s’était rendu acquéreur de bois vendu par la commune pour une somme de 427 livres, consent une avance de 120 livres à la commune, afin que celle-ci puisse effectuer des réparations aux vitraux de l’église


En 1902 des dégradations sont constatées sur les vitraux, notamment dues à des jets de pierres. Afin d’éviter des dégâts plus considérables qui pourraient avoir lieu, le conseil municipal, saisi par le conseil de fabrique, entreprend en commun avec ce dernier, des travaux de protection consistant notamment en la pose de grillages.

 

Délibération


C’est le sens de la délibération du 16 novembre 1902.

 

P1010167-Conseil de fabrique P1010168-Conseil de fabrique 

 

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 04:42

P1000877 copieCe vitrail, pièce maîtresse des vitraux qui ornent le chœur, fait actuellement l’objet d’une réflexion du conseil municipal et de l’association des « Amis de l’Abbatiale » visant  à sa rénovation.


En effet la pollution et les intempéries encras-sent à tel point certains tableaux que ceux-ci en deviennent indistincts. Les photos que nous en avons pris en sont la preuve.


Nous présentons ce vitrail en détaillant chaque scène. Habituellement nous le regardons, d’une manière globale, sans pour autant nous attacher à chaque détail. En le disséquant nous vous donnons la possibilité de vous y attarder.


Et nous le ferons en nous appuyant sur l’étude archéologique qu’à faite André Philippe en 1931 dans son livre « L’Abbaye de Saint-Jean-aux-Bois », hélas épuisé depuis bien longtemps.


Bref rappel historique

 

L’église fut construite dans le premier quart du 13e siècle et le chœur vitré vers 1230. A la fin du 16e siècle, plusieurs lancettes furent aveuglées à des hauteurs différentes et une partie des vitraux fut donc supprimée. A la fin du 19e siècle, les lancettes furent débouchées, et en 1868 le vitrail de la passion (celui qui nous intéresse aujourd’hui) fut restauré. Ces vitraux furent déposés en 1944, puis restaurés après 1955 par Jean-Jacques Grüber.


Retour sur cet épisode

 

REMISE EN PLACE DES VITRAUX APRES LA GUERRE copie-1En 1944, les pouvoirs publics entreprennent, en raison des évè-nements, de mettre à l’abri tous les vitraux offrant quelque intérêt. C’est le cas pour certains vitraux de l’église de Saint Jean aux Bois. Le 1er août, le maire, Monsieur le docteur Hammel, est informé, par la direction des monuments histo-riques, que la dépose de ceux-ci, ayant été effectuée plus tôt que prévus, les circonstances actuelles en étant la cause, lui-même ainsi que l’abbé Coulaud n’ont pu être prévenus.


Sitôt la guerre terminée le maire s’enquiert auprès de l’administration de la repose des vitraux. Il faut attendre le 24 avril 1951, pour que la direction générale de l’architecture l’informe « que la repose des vitraux de l’église de votre commune a été prévue au programme des travaux de 1951, dommages de guerre… mais que l’insuffisance des crédits n’a pas permis, jusqu’alors de retenir cette opération qui a dû être différée ».


REMISE-EN-PLACE-DES-VITRAUX-APRES-LA-GUERRE-copie-2.jpgDans sa séance du 9 novembre 1954, le conseil général de l’Oise émet « un vœu tendant à la mise en place des vitraux de l’église de Saint Jean aux Bois classée parmi les monu-ments historiques ».


Le 25 février 1955, Monsieur Jean Legendre député du secteur, suite à la lettre que lui avait adressée Monsieur Champion, maire à l’époque de St Jean, lui écrit que « le gouvernement était renversé au reçu de sa lettre » mais que « maintenant qu’il y a un responsable aux Beaux-Arts, je tente une intervention et ne manquerait pas de vous tenir au courant du résultat obtenu ».


Le 9 mars 1955, suite à son intervention auprès du directeur général de l’architecture, le député est informé qu’un devis de 2.647.120 frs a été établi pour cette opération.


REMISE EN PLACE DES VITRAUX APRES LA GUERRE copie-6Le conseiller général du canton, Monsieur le docteur Gand, intervient à son tour le 27 avril 1955.


Toutefois, pour une opération où la com-mune, somme toute n’avait qu’assisté et qui lui avait causé des désagréments, son concours financier est sollicité à hauteur de 5.000 frs.


Cette question réglée, la direction des bâtiments de France, informe le maire par courrier daté du 12 mars 1956, que la repose des vitraux aurait lieu aux beaux jours.


Ces travaux eurent lieu durant les mois de juin et juillet 1956 et c'est le maître verrier Gruber1 qui effectua ce travail de repose et de restauration.

 

Comme quoi il n’aura fallu que douze années .…

 


1-Jean-Jacques Grüber, maître verrier né en 1904, fils de Jacques Grüber un des maîtres verrier de l’école de Nancy allie sa carrière artistique à des travaux d’histoire du haut Moyen-Âge et devint animateur du groupe d’histoire de l’art de la Sorbonne. Il décède en 1988.

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