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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 05:12

 

DUR DE SIEGER AU CONSEIL MUNICIPAL 

 

Le dimanche 21 avril 1929, le maire rend compte aux électeurs, du mandat du conseil municipal élu depuis le 3 mai 1925.

 

Nous avons extrait ce paragraphe du procès-verbal de cette assemblée.

 

« Le conseil n’a pas jugé à propos d’engager la moindre dépense en dehors de l’entretien des toitures, « Clos et couvert », c’est suffisant pour une commune pauvre. Comme vous pouvez le constater, le mobilier de notre hôtel de ville dénommé la grande misère de la commune jusqu’à ces jours derniers, nous avons été obligés d’emprunter des chaises et des bancs, pour ne pas voir une partie des conseillers municipaux rester debout pendant les séances. Heureusement une vente mobilière récente nous a permis d’acheter avantageusement quelques chaises et de nous asseoir tous sur des sièges municipaux ».

 

Chaises-copie-1.jpgEn arriver là était effectivement une grande misère !

 

Pensez, Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux, à vos pauvres collègues de cette période, (au sens propre comme au sens figuré), courageux de gérer les affaires communales dans de telles conditions.

 

Pas même question d’envisager un seul instant de jouer aux chaises musicales pendant les suspensions de séances.

 

Mais ceci ce passait en 1929, il y a longtemps.

 

Toutefois des questions se posent quand on lit quelques années plus tard, dans le compte rendu du conseil du 12 février 1960, qu'un conseiller municipal, M. Plessier pour ne pas le nommer, fait remarquer qu'il existe un nombre insuffisant de chaises pour les conseillers.

 

Six chaises supplémentaires seront donc achetées. Pas moins!

 

Que diable! Où passent les chaises de la salle du conseil municipal?

 

Quelques administrés en arrivent à se demander si, par hasard, certains ne quitteraient pas le conseil avec une chaise ou deux dans leurs poches. Qui sait?

 

Affaire à suivre!

 

Et n'oubliez pas samedi prochain 

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Places assises pour tout le monde !

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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 04:39

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 04:38

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à suivre…

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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 04:37

Désignation au classement de 1840 :

Numéro d’ordre : 12

Nom sous lequel le chemin est communément désigné : Chemin du Pont Cardon.

Point où il commence : Commence au chemin des Plaideurs.

Du lieu vers lequel il tend, des lieux qu’il traverse, tels que hameaux, ruisseaux guéables, ponts, etc. : Est traversé par un pont en pierres.

Du lieu où il se termine : Se termine au chemin de Villers-Cotterêts.

Longueur en mètres sur le territoire de la commune : 2060m.

Largeur moyenne : 5 mètres.

Le conseil municipal propose qu’il soit déclaré rural.

Le sous-préfet le maintien sans le déclarer vicinal.


Le Pont Cardon est un lieudit situé, entre les coteaux de la tête de Saint-Jean et de Saint-Nicolas-de-Courson.


Le chemin du Pont Cardon commence sur la D85, chemin des Plaideurs, à gauche dans le virage de Béthanie lorsque l’on va sur Compiègne. Le parcourant, il laisse sur sa gauche l’arrière des maisons des Kharites, passe le carrefour des Naïades et se dirige vers le chemin du Parquet qu’il coupe avant la brusque descente vers l’étang Puiseux (des Naïades).


Il continue ensuite, droit devant jusqu’à la route de Villers-Cotterêts, D 33, où il sort de la parcelle 7262 ; là se situe les limites du territoire de Saint-Jean. Le chemin poursuit en direction de Saint-Nicolas de Courson sur le territoire de Morienval sur la gauche de la D33.

 

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Des vestiges antiques furent découverts en 1816 dans la parcelle délimitée par le chemin du Pont Cardon, la route de Villers-Cotterêts et celle de la Landeblin. Louis Graves dans sa notice sur Saint-Jean-aux-Bois écrit, page 167, qu’on « y découvrit des ruines considérables avec des médailles qui indiquaient leur origine romaine. On en retira, vers l’année 1823, quantité de pierres, de grandes tuiles, de vases de couleurs diverses ».

 

Perimetre-des-fouilles.jpg


UNE BONNE IDEE QUI N’A PAS EU DE SUITE

 

Durant la période où il a été maire de Saint-Jean, entre 1924 et 1929, le docteur Bresset avait émis l’idée d’une déviation du village par ce chemin du Pont Cardon et celui des Prés de Saint Jean, ces deux chemins étant communaux.


Nous aurions donc eu une déviation partant de Malassise, en face Béthanie, et aboutissant au carrefour du Bocage.


Nul doute que si cette idée s’était concrétisée nous n’aurions pas les problèmes que nous rencontrons avec la circulation des véhicules, et que le village serait paisible.

 

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à suivre…


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6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 04:37

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Actuellement le chemin est barré et le passage, venant de la D85 en direction du carrefour des Naïades, n’est plus possible en raison du ponceau en très mauvais état. Suite aux débordements du 5 juillet dernier, celui-ci a été ébranlé et risque de s’écrouler à tout moment.

 

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Les riverains qui ont pris l’initiative d’interdire le passage doivent être remerciés de leur geste, toutefois nous donnons connaissance d’une discussion qui eut lieu en 1927 au conseil municipal, qui appui ce qui est dit dans l’article précédent, à savoir que cette portion de chemin est classé chemin rural et appartient bien à la commune tel qu’il est dit dans l’arrêté préfectoral du 30 juin 1841.


Conseil municipal du 21 août 1927 - Chemin rural n° 11. —

 

Le conseil au cours d’une visite effectuée le 17 juillet 1927, ayant constaté que le chemin était actuellement barré 1° par M. Ramet François* (barrière mobile), 2° par M. Picard Ernest* (barrière fixe), le maire demande à user des pouvoirs qui lui sont conférés par la loi pour rendre le chemin à l’usage du public. Par 7 voix sur 7 votants, il est décidé que, si après avertissement, les propriétaires refusent de se conformer au règlement, contravention sera dressée et le maire est autorisé à les poursuivre devant les tribunaux compétents.

Conseil municipal du 16 octobre 1927 - Chemin rural n° 11.

 

 

M. Massonnet*, par lettre du 26 août courant s’est engagé à remettre le chemin en état de libre circulation. M. Ramet a fait de même, mais le 8 octobre dernier a demandé qu’elles étaient les pièces sur lesquelles le conseil municipal s’appuyait pour lui interdire la fermeture du chemin, déclarant qu’il possédait par-devers lui les actes lui en attribuant la propriété. Copie conforme du tableau des chemins de la commune lui a été adressé le 10 octobre avec avertissement que, le chemin étant considéré comme public, il lui incombait de faire la preuve du contraire devant les tribunaux compétents (juge de paix). Les pièces dont parle M. Ramet ne nous ont pas été présentées et aucune réponse n’a été faite à la lettre du maire qui a chargé le garde champêtre de s’assurer de la publicité du chemin.

 

* M. Ramet François, de Vieux-Moulin, propriétaire de 2 parcelles pour 54 ares, 53 ca à l’Etang de Saint-Jean.

* M. Picard Ernest, de Compiègne, propriétaire d’une parcelle de 12 ares, 30 ca à l’Etang Puiseux.

* M. Massonnet Louis, inspecteur adjoint des forêts, de Conflans-Ste-Honorine, propriétaire d’une parcelle de 46 ares, 33 ca à l’Etang de Saint-Jean.


Comme quoi les archives de la commune ne peuvent prêter à aucune interprétation de quelque sorte que ce soit.

 

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 04:32

Désignation au classement de 1840 :

Numéro d’ordre : 11

Nom sous lequel le chemin est communément désigné : Route tournante de l’étang de Saint-Jean.

Point où il commence : Commence au chemin des Plaideurs.

Du lieu vers lequel il tend, des lieux qu’il traverse, tels que hameaux, ruisseaux guéables, ponts, etc. : Est traversé par un pont en pierres.

Du lieu où il se termine : Se termine à la route Saint-Jean.

Longueur en mètres sur le territoire de la commune : 248m.

Largeur moyenne : 5 mètres.

Le conseil municipal propose qu’il soit déclaré rural.

Le sous-préfet le maintien sans le déclarer vicinal.


La route Tournante de l’Etang de Saint-Jean s’étend du carrefour du Capitaine, passe au carrefour du Boquet Colin, coupe la D 85, puis une vingtaine de mètres plus loin se divise en deux tronçons, à gauche celui qui mène à la ferme Boivinet, à droite au carrefour des Naïades, là où elle prend fin. Le plan parcellaire de 1827 la situe ainsi et désigne le carrefour des Naïades sous le nom de carrefour des « Driades », ce qui est une erreur car ce dernier se situe au croisement de la route des Gardes et de la Héronnière. La carte IGN actuelle fait commencer ce chemin au carrefour du Diable.


D’après le document de 1840, il faudrait comprendre que la route Tournante des Prés de Saint-Jean se terminerait à la route Saint-Jean (plus communément appelée aujourd’hui le chemin du Parquet). Dans ce cas elle emprunterait une partie de la route du Parquet de La Landeblin. Nous aurions alors un tronçon de route avec deux appellations différentes. C’est une hypothèse qu’il faut abandonner et s’en tenir au carrefour des Naïades comme étant la fin de la route Tournante des Prés de Saint-Jean.


La même confusion se retrouve d’ailleurs avec le tracé de la Chaussée de l’étang de Saint-Jean située dans le même secteur.


Cela n’avait pas échappé en 1925 au maire, le docteur Bresset, puisque nous avons trouvé une note écrite de sa main sur le sujet.


Voici ce texte (en rouge mes remarques)


NOTE SUR L’IDENTIFICATION DES CHEMINS RURAUX.

 

N°11 Route tournante de l’étang de Saint-Jean : du chemin des Plaideurs à la route de Saint-Jean (1 pont en pierres) 248m de long 5m de large.


N° 15 Chaussée de l’étang. De la route tournante de l’Etang de Saint-Jean au chemin du Pont Cardon (1 pont en pierres) 210m de long largeur 4m.


Chemin rural n°11, dit Route Tournante de l’Etang de Saint-Jean. C’est le chemin qui passe devant les maisons du lieudit l’Etang de Saint-Jean, mais il est mal dénommé puisque d’après le plan cadastral et les cartes de Pannelier d’Annel et du service forestier, la Route Tournante de l’Etang de Saint-Jean commence au carrefour des Naïades pour se terminer au carrefour du Capitaine.


Mais d’après ses limites ce ne peut être un autre chemin. Il commence sur le chemin des Plaideurs et se termine sur un chemin sans nom qui lui-même aboutit à la route de Saint-Jean ; chemin rural n°8, prolongement du chemin du Parquet (voir le tableau des chemins).


(Ce chemin sans nom est dénommé Route du Parquet de Landeblin. Il coupe le chemin du Parquet à hauteur de la maison forestière)


Sa longueur de 248 mètres le font se terminer en cul de sac sur le chemin sans nom qui aboutit à la Route de Saint-Jean.


(Cette longueur de 248m ne peut correspondre qu’à la distance qui existe entre le chemin des Plaideurs et le carrefour des Naïades)


Chemin rural n°15, dénommé à tort Chaussée de l’Etang. D’après le plan de 1762 est le commencement de la Route Tournante de l’Etang de Saint-Jean. Il commence bien au carrefour des Naïades sur le chemin du Pont Cardon et se termine sur la Route Tournante de l’Etang de Saint-Jean ; chemin rural n°11.

 

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(A mon avis d’après les photos il commence sur le chemin du Pont Cardon en face du bout du jardin de l’ancien restaurant des Naïades).


Sa longueur est de 210 mètres prise du poteau du carrefour des Naïades à sa rencontre avec le chemin rural n°11.


(Je pense qu’il y a confusion de la part du docteur Bresset. La chaussée de l’étang existe bien à l’endroit où nous l’indiquons et cette longueur de 210m peut lui correspondre — nous ne l’avons pas mesuré, seulement à vue de nez —. Il semblerait qu’il attribut cette distance à la portion qui va du carrefour des Naïades au chemin du Parquet, qui pourrait également mesurer dans les 210m.).


N.B. : Quant à la Route Tournante de l’Etang de Saint-Jean entre le chemin des Plaideurs et le chemin des Meuniers, elle mesure 450 mètres de longueur et ne présente aucune raison d’être chemin rural.


(Cette portion ne figure d’ailleurs pas au classement de 1840).


Avec les cartes et les documents disponibles de nos jours et des longueurs de chemins indiquées en 1840, il est possible de déterminer les tracés de ces chemins, tel que nous l’avons fait sur les cartes.

 

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3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 04:30

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11, 12, 13 Route des Prés de Saint-Jean

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19 Route des Prés de St Jean

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2 novembre 2012 5 02 /11 /novembre /2012 04:29

Désignation au classement de 1840 :

Numéro d’ordre : 10

Nom sous lequel le chemin est communément désigné : Route des prés de Saint-Jean.

Point où il commence : Commence à la route des Prés de Saint-Jean.

Du lieu vers lequel il tend, des lieux qu’il traverse, tels que hameaux, ruisseaux guéables, ponts, etc. : Traverse le carrefour du Bocage.

Du lieu où il se termine : Se termine au chemin du Pont Cardon.

Longueur en mètres sur le territoire de la commune : 900m.

Largeur moyenne : 5 mètres.

Le conseil municipal le propose comme chemin rural.

Le sous-préfet le maintien chemin rural.


Ce chemin qui part du carrefour du Boquet Colin, tourne autour du village pour finir à la route du Pont Cardon. La partie communale de ce chemin commence au bout du chemin du Ru (Route du Rut sur les documents), à la hauteur du transformateur et se termine à la route du Pont Cardon.


Il coupe le carrefour du Bocage. C’est sur cette partie de chemin que se trouve la station d’épuration et l’antenne téléphones mobiles.


Comme la route du Ru, une portion de ce chemin a été échangée avec l’O.N.F.

 

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C'est cette partie qui a été échangée.


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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 04:28

Désignation au classement de 1840 :

Numéro d’ordre : 9

Nom sous lequel le chemin est communément désigné : Route du Rut (écrit avec un T)

Point où il commence : Commence au carrefour Saint-Jean.

Du lieu vers lequel il tend, des lieux qu’il traverse, tels que hameaux, ruisseaux guéables, ponts, etc. : Tend vers les prés.

Du lieu où il se termine : Se termine au rut des Marais de Batigny.

Longueur en mètres sur le territoire de la commune : 360m.

Largeur moyenne : 5 mètres.

Le conseil municipal le propose comme chemin rural.

Le sous-préfet le maintien chemin rural.

 

L’utilisation du terme « rut des Marais de Batigny » peut créer une confusion, alors qu’il s’agit tout bonnement du ru des Planchettes. Le chemin du Ru se termine à sa jonction avec la route Tournante des Prés de Saint-Jean (au transformateur).


Ce chemin a été échangé avec l’O.N.F. contre le chemin des Meuniers en 1989, alors que ce chemin figurait déjà dans les voies appartenant à la commune selon le classement de 1840. (voir l’article sur le chemin des Meuniers) 

 

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 04:27

Poursuivons notre parcours sur le chemin du Parquet.


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La jonction avec la D332 marque la limite de la portion du chemin du Parquet figurant au classement de 1840. Ce chemin qui se poursuit au delà de la départementale, comme nous le voyons sur l'avant-dernière photo et ce, jusqu'au carrefour du Longpont, n'y figure pas.


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