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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 05:30

Le souffle de la terre

 

Les photos de la sortie organisée par l'association Saint-Jean-aux-Bois et les fêtes.


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En attendant le car, les premiers arrivants

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Notre arrivée à Ailly

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Que de choses à raconter !

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En route vers le restaurant

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Auparavant petite photo du groupe

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Enfin à table

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Doucement, n'en n'abusez pas !

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Et maintenant place au spectacle

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Et bravo à l'association qui une fois encore nous a proposé une soirée exceptionnelle, et à sa Présidente qui, une fois encore a su déjouer les caprices du temps en nous évitant le pire.

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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 04:44

Le pont de la porte de l'abbaye, vous y passez tous les jours ou presque. C'est banal.

 

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En vous penchant un peu, vous découvrez les deux arches.

 

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Mais sous le pont, vous ne vous êtes jamais posé la question?

Eh bien voilà! Soyez satisfait.

 

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La porte vue par en dessous.

 

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Et n'oubliez pas

La Semaine Prochaine


Larosa


LE PREMIER CONCERT DE LA SAISON

de l'association "Des orgues pour Saint Jean" 

 

Venise

 

 

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 04:40

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 04:40

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à suivre…

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 04:39

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à suivre…

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 04:39

Fouilles et vestiges archéologiques à St Jean et autour de St Jean.

 

Dans son livre "Notice archéologique sur le département de l'Oise" paru en 1856, Louis Graves rapporte que dans le village même de Saint Jean aux Bois, on déterra en 1816, une palette à encens, des fibules et des agrafes du même métal.

 

M. Pannelier, faisant une plantation à La Muette, découvrit une hache de bronze portant la bélière, c'est-à-dire un anneau fixé et fondu avec la pièce. Il y a lieu de croire qu'il existait à cet endroit une manufacture de ces armes, puisqu'on trouva non seulement plusieurs haches entières et les manches de quelques autres, mais aussi des restes de la matière préparée pour cet usage.

 

Chacun connaît les vestiges de la chaussée Brunehaut dont une section, descendant de La Fortelle, passe entre le bas de Four d'en Haut et St Nicolas de Courson.

 

La forêt contient d'autres vestiges de chaussées. Des travaux de défoncement effectués en 1820 derrière le hameau de Malassise, mirent au jour des restes s'étendant au loin vers le carrefour des Mares St Louis. On indique un ancien chemin venant de Saint Sauveur à La Brévière, traversant la route de La Michelette après le carrefour Antonin, dont le trajet est marqué par des tessons de tuiles à rebord et par des vestiges de constructions.

  

Découvertes archéologiques autour de St Jean

 

Nous avons déjà évoqué très brièvement quelques découvertes archéologiques faites dans le village et ses alentours. Nous y revenons un peu plus longuement, non pas pour tout explorer mais afin de donner un simple aperçu de ces découvertes.

 

Napoléon III s'intéressait beaucoup aux fouilles archéologiques et bien souvent il y participait lui-même. Il charge en 1861 M. Albert Roucy, juge à Compiègne, d'une mission archéologique spéciale. L'année suivante celui-ci remet son rapport à l'Empereur1.

 

CANTON DE SAINT JEAN AUX BOIS

 

Nous n'avons extrait de ce rapport que les chapitres qui concernent St Jean aux Bois.

Pe-rime-tre-des-fouilles-copie.jpgEn venant de Four-d'en-Haut, sur un emplacement situé avant d'arriver à St Jean aux Bois, existe une enceinte limitée par les routes de Villers-Cotterêts, du Pont Cardon et de La Landeblin.

 

L’antiquité y a laissé plusieurs vestiges. Indépendamment de quelques murs en pierres d’appareil, ont été dégagées des sortes de fourneaux avec des petits piliers carrés formés de larges briques plates superposées. Le sol a fourni beaucoup de décombres, parmi lesquels des morceaux d’enduits recouverts de peintures à plusieurs teintes.

 

Un objet assez curieux à mentionner y a été trouvé. Il s'agit d'une petite chouette ou d'un petit hibou en bronze qui ornait sans doute, la poignée d’une arme, d'un vase, ou de quelque autre meuble.

 

Des vitrifications et scories nombreuses trouvées à la même place pourraient expliquer l’existence et l’usage des fourneaux faisant probablement partie d’un petit établissement industriel.

 

 SAINTE PERINE, LA BREVIERE

 

Auprès de l’étang de Ste Périne, du côté opposé à la route de Crépy près du carrefour des Amoureux, on rencontre en abondance les mêmes scories et les mêmes vitrifications qu'à St Jean.

 

Elles sont mêlées à des tuiles à rebords et autres matériaux. Il pourrait s'agir là d’anciens ateliers de verrerie ou de poterie.

 

Près et au sud-ouest de La Brévière, à droite et à gauche de la route du Marais et de l’Échelle vers le carrefour Sainte Périne, l’antiquité a laissé des empreintes bien accusées. De légères fouilles y ont mis à jour des murs d’appareil, des aires formés par des massifs marbrés de ciment et de terre cuite, des enduits recouverts de peinture et des fragments de mosaïque commune blanche et noire.

 

A noter une particularité qui vient de l'agencement de tuiles faîtières rapprochées l’une sur l’autre à leur base, pour former conduits ou tuyaux sur une petite substruction quadrilatère. On trouve aussi beaucoup de débris de vases en terre. Il est probable que cet endroit a autrefois fourni bien des matériaux pour l’édification première du hameau de La Brévière.

 

Nous pourrions citer encore des vieilles monnaies, des objets en bronze, des statuettes et beaucoup d’autres trouvailles recueillies dans l’enceinte même du vieux palais de Cuise et que M. Lucien Le Roy, maire de 1884 à 1894, proposait de faire figurer un jour dans le musée forestier qu'il envisageait d’installer dans la salle capitulaire restaurée.

 

Ce musée ne vit jamais le jour et les objets qu’il lui destinait ont malheureusement disparus depuis bien longtemps.

 

******************************

1. Ce rapport a été lu devant la Société historique de Compiègne lors de ses séances des 16 juin et 21 juillet 1898

Louis Graves géologur et botaniste. Fut nommé directeur générak des forêts en 1854. Fut galement secrétaire général de la préfecture de l'Oise.

Pannelier Pierre Lucien.Receveur des bois, entrepreneur des plantations de la forêt de Compiègne.

 

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 04:43

Ces charges, au fil des ans, ne cesseront d’augmenter tant et si bien qu’en 1984, au 1er mai, le ramassage transport compris, passe à 17 229,28f TTC par an soit 1 435,77f par mois.

 

Le 11 octobre 1985, en application des dispositions de l’arrêté ministériel n° 84-74/A du 19 novembre 1984 qui stipule que les tarifs de ramassage des ordures ménagères peuvent être majorés de 3,5%, monsieur Flamant présente une augmentation du taris de ramassage des ordures ménagères à compter du 1er juillet 1985.

 

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Le camion de récupération du verre


Le ramassage passe à 1 729,97f par mois TTC. Cette augmentation étant conforme aux dispositions de l’arrêté ci-dessus le conseil municipal accepte cette augmentation.

 

Entre temps le conseil municipal avait décidé d’ajouter au ramassage des déchet ménagers celui des objets encombrants qui au départ se faisait deux fois dans l’année.

 

En 1987, l’enlèvement est confié à une nouvelle entreprise, la Compagnie Générale d’Entreprises Automobiles (C.G.E.A.). Ce n’est pas pour autant que les tarifs seront revus à la baisse. Les révisions se font dorénavant en fonctions des variations des conditions économiques. Sachant que celles-ci n’ont pas tendance à baisser, ce coefficient passe pour le 2e semestre 1987 de 1,0154 à 1,0263 pour le 1er semestre 1988.

 

Container-enterre-.jpgAu mois de mars 1988, le conseil municipal décide de faire placer un container pour la récupération des bouteilles et récipients en verre. Devant le succès de cette expé-rience, d’autres suivront. Aujourd’hui c’est un container enterré qui se trouve au bout de la rue des Meuniers. L’esthétique du village s’en trouve améliorée.

 

C'est ainsi que d'année en année le ramassage des déchets sera continuellement amélioré pour en arriver à ce que nous connaissons aujourd'hui.

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 04:44

Le 19 février 1965 le conseil décide de ne pas maintenir la taxe d’enlèvement des ordures ménagères et de financer l’entreprise chargée de l’enlèvement sur les ressources ordinaires.

 

Le conseil du 25 mars 1969 décide de pressentir l’administration de l’office des forêt pour la concession d’un terrain à usage de décharge publique et le conseil du 1er juillet 1969 décide de s’adresser directement à la direction régionale de l’O.N.F. afin d’obtenir satisfaction pour l’octroi d’une nouvelle concession.

 

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Vues sur la butte de l'ancien dépôt d'ordures ménagères


Ce ramassage durera ainsi quelques temps, mais rapidement il apparaît que cette pratique plutôt artisanale doit être améliorée. Le conseil municipal décide de faire appel aux services d’une entreprise spécialisée dans ce genre d’activité.


L’entreprise Flamant de Rémy sera pressentie à cet effet. Évidemment les tarifs ne sont plus les mêmes. De plus des révisions de tarifs approuvées par le préfet, sont deux fois l'an soumises à l’approbation du conseil, si bien que les charges deviennent de plus en plus lourdes à supporter par le budget communal.


Tant et si bien que le conseil municipal du 7 mai 1975 rétabli la taxe d’enlèvement des ordures ménagères. Le produit attendu est de 5442,81f, la dépense étant dans le même temps de 5877,30 francs TTC par an.


Les déchets ménagers sont déposés à cette époque, dans la décharge de Vieux Moulin, située non loin de l’ancienne voie ferrée.


Mais lors de la séance du 17 juillet 1976, le maire donne lecture au conseil municipal, des circulaires du 18 juin 1975 et du 14 avril 1976 de monsieur le sous-préfet, portant suppression des décharges sauvages et en particulier de celle de Vieux Moulin située en forêt domaniale. À compter du 1er juillet 1976 celle-ci est fermée à la demande de l’O.N.F.


Pour faire face à cette situation, le maire informe le conseil municipal des démarches qu’il a entreprises auprès du S.I.V.O.M. d’Attichy, sollicitant l’autorisation d’utiliser leur décharge contrôlée de Saint Etienne de Roilaye.


Le conseil municipal appelé à délibérer sur cette question décide d’utiliser cette décharge contrôlée et autorise le maire à solliciter l’autorisation de déposer les ordures ménagères de la commune à ladite décharge aux conditions indiquées par la commission syndicale de la voirie et des ordures ménagères du S.I.V.O.M. d’Attichy lors de sa réunion du 11 juin 1976. La redevance exigée est de l'ordre de 3 francs par m3 d’ordures déposées.

 

A la suite de la fermeture de la décharge de Vieux Moulin, le prix du seul transport des ordures ménagères à Saint Etienne de Roilaye n’est plus le même et représente une charge supplémentaire pour la commune. Ces frais s’élèvent à la somme de 95,82f par mois, à compter du 1er juillet 1976, au lieu de 52,98 francs auparavant, soit une augmentation de 80%. C'est énorme.

 

Au mois d’octobre, le maire présente au conseil municipal une demande d’augmentation des tarifs de ramassage des ordures ménagères formulée par M. Flamant, l’entrepreneur de collecte d’ordures ménagères. Cette augmentation se présente sous la forme d’un avenant qui prend effet rétroactivement au 9 août 1976 et qui porte le ramassage à la somme de 6580,33f TTC par an soit 548,36f par mois, et dans le même temps le transport des ordures à la décharge de Saint Etienne de Roilaye passe de 95,80f à 99,15f par mois.

 

Le conseil municipal accepte les augmentations proposées, au risque de voir les immondices s’accumuler dans les rues en cas de refus.


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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 04:45

Le trou à ordures du chemin du Ru donnera lieu à récriminations de la part des habitants, ceux-ci le trouvant trop près des habitations et provoquant, notamment l’été, des odeurs malodorantes gênantes. Le débat concernant ce dépôt se prolongera durant plusieurs conseils, pour en définitif ne pas trouver de solution satisfaisante, certains conseillers jugeant la réclamation des riverains fondée et d’autres affirmant l’inverse.

 

12Les demandes de renouvellement de ces concessions seront régulièrement faites par le maire auprès de l’administration, jusqu’à ce conseil du 14 mai 1963 qui est informé que l’administration envisage la suppres-sion de ces trous à ordures qui seront remplacés par un dépôt unique.

 

Par une délibération en date du 20 septembre 1963 le conseil cons-tatant la fin des con-cessions des anciens dépôts à ordures à la date du 31 décembre 1962, demande la concession d’un nouveau dépôt dans la parcelle 12 de la 7ème série. DéchargeDans le quadrillarère formé par les routes du Capitaine, du pont de Palesne, du chemin qui mène au gros chêne et la route tournante des Prés de Saint-Jean. On peut encore de nos jours en voir des traces en milieu de parcelle.

 

Ces nouvelles dispositions créaient l’obligation d’envisager ce qui ne s’était encore jamais pratiqué à Saint-Jean : le ramassage des ordures ménagères et de trouver les moyens d’en assurer le financement notamment par la création d’une taxe.

 

Les discussions vont bon train jusqu’au 25 juin 1963 ou le conseil accepte définitivement le principe du ramassage des ordures ménagères.

 

Des essais préliminaires ont lieu afin de déterminer dans qu’elles conditions cette opération peut-être menée à bien.

 

A cet effet une petite entreprise de ramassage des ordures ménagères est officiellement créée et le conseil municipal du 25 février 1964 décide qu’à compter du 1er mars 1964 la direction de cette entreprise sera confiée à Madame Levert qui en devient en quelque sorte le P.D.G. Ce même conseil décide que cette entreprise effectuera un service, chaque vendredi dès 8h30. Un arrêté municipal précisera les modalités de ce service.

 

L'unique employé de cette entreprise, Monsieur Levert, assurera ces premiers ramassages à l’aide d’un chariot tracté par son cheval.

 

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Ce nouveau service coûtera pour 1964 : 2000 francs (de nos jours nous dirions 305€, à actualiser évidemment), soit 40 francs par semaine.

 

Le conseil du 28 avril 1964 décide de confier à une entreprise les travaux de nivellement des anciens trous à ordures.

 

Celui du 27 juillet 1964 décide d’entourer d’une clôture le nouveau trou à ordures.


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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 04:45

Les choses commencèrent à changer aux lendemains de la guerre 14/18. Celle-ci avait changé les habitudes. Les troupes étrangères, notamment américaines, étaient arrivées avec leur mode de vie où l’emballage était déjà utilisé. Bref la vie moderne faisait ses apparitions.


7Depuis très longtemps, sinon toujours, les habitants de Saint Jean avaient pris l’habitude d’aller jeter en forêt leurs rares détritus. Jusqu’au jour où le conseil municipal fut amené, dans sa séance du 21 novembre 1926, à examiner les réclama-tions présentées par l’administration des Eaux et Forêts, les ouvriers et les prome-neurs, concernant la malpropreté et les dangers présentés par les ordures ménagères jetées au hasard par les habitants de l’agglomé-ration de Saint Jean sur le terrain de la forêt domaniale de Compiè-gne, aux abords du village.


Le conseil « considérant que si la commune a l’obligation de donner aux habitants la possibilité de débarrasser leurs maisons, bâtiments et cours, des ordures ménagères, il ne lui est pas possible, en l’absence de terrain communal d’aménager un emplacement pour le dépôt de ces ordures. Demande à M. le préfet de l’Oise que l’administration des Eaux et forêts consentante, accorde en location à la commune sur le terrain de la forêt domaniale, aux sorties du village, trois parcelles d’une superficie d’un are chacune pour y établir aux frais de la commune des tranchées dans lesquelles par arrêté municipal seront déposées obligatoirement les ordures ménagères. Les emplacements desdites tranchées seront désignés par M. l’inspecteur des forêts et la commune s’engage à exercer la surveillance qu’elles exigent au point de vue de l’hygiène et de la santé publique ».

 

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Il y aura plusieurs trous à ordures disposés dans divers endroits autour de la commune : un chemin du Ru, un au carrefour du Bocage, un en forêt à la hauteur de l’entrée du village. De même Malassise dispo-sait de trois trous à ordures.


Quant à La Brévière il lui était accordé une parcelle de 5 centiares dans la parcelle 12 série IX. 


Une redevance était payée chaque année par la commune à l’administration fores-tière.


Ces concessions seront renouvelées en 1930 et 1936 ainsi qu'aux lendemains de la guerre.


 

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